Au programme aujourd’hui : l’île paradisiaque de Zamami !!
Pour y arriver, nous nous sommes levés aux aurores (7h30 quoi…), pris le
monorail sur 2 stations puis marché jusqu’au port où le ferry nous attendait.
Dans le ferry on s’installe où l’on veut : sièges intérieurs, extérieurs,
ou dans une salle couverte par un tatami. Bon, on a choisi les sièges
intérieurs bien sûr car votre bien-aimée rédactrice du blog n’avait pas fini sa
nuit ! Au bout d’1H30, le bateau accoste et tout le monde descend, nous y
compris. Moi, bien réveillée, je pars devant jusqu’à ce que Loulou me stoppe
dans mon élan pour me montrer un panneau « This is Aka Island. Zamami is
the next port ». Oups ! Demi-tour et on ré-embarque, nous et presque
tous les autres boulets qui étaient descendus aussi… On en profite pour finir
la traversée sur le pont extérieur où l’on peut admirer les paysages de rêves
qui défilent devant nos yeux : eau turquoise, végétation luxuriante, sable
blanc, on croirait rêver !!!
On finit par arriver sur notre île au bout de
presque 2 heures de bateau et on fonce directement à la plage pour louer
l’équipement de snorkelling : masque, tuba, palmes, la totale ! 3
heures à nager au-dessus du corail au milieu des poissons de toutes les tailles
et de toutes les couleurs (on a même vu un serpent de mer). Moi, comme à mon
habitude, je me suis récupéré un équipement
qui datait de l’âge de pierre, ou alors c’est que je ne suis pas douée,
en tous cas j’ai bien bu la tasse ! Du coup j’ai beaucoup profité de la
plage pendant que Loulou pataugeait dans l’eau comme un gamin, j’en ai profité
pour étudier les japonais à la plage car quoiqu’ils fassent, ils ne le font
jamais comme nous, donc on ne se lasse pas de les regarder… Bref, le japonais à
la plage ça donne quoi ? Et bien il est couvert de la tête aux
pieds : short de bain, petites chaussures étanches, tee-shirt de
combinaison, chapeau, gilet de sauvetage. Il s’installe sur une bâche et non
sur une serviette de plage, sous un parasol des fois que malgré son attirail et
sa couche de crème solaire, un rayon UV arriverait jusqu’à sa peau, et il
dort !
Voilà, on a donc passé une journée belle et intéressante sur
cette île magnifique, avant de reprendre le ferry, cette fois beaucoup moins
bien installés. En effet, le bateau était plein donc on a fait la traversée
assis par terre dans un couloir, tels des clandestins, au milieu des autres
malchanceux comme nous qui n’avaient pas trouvé de siège disponible…
Et pour finir, parlons bien, parlons bouffe ! Petit
diner tranquille au Otoya : une chaine de restaurant qui propose une
cuisine japonaise classique très très bonne.
Super cette île ! Pitêtre qu'ils ont raison les Japonais, de se couvrir un minimum avec tout ce qui leur tombe dessus ...
RépondreSupprimerA demain à Tokyo donc !